Le festival PULSIONS, organisé par Kalie Granier et soutenu par l’Alliance Française de la Silicon Valley, les services culturels de l’ambassade de France aux États-Unis, le musée d’art et d’histoire de Santa Cruz, 836M et la galerie Pro Arts, a ouvert à la galerie 836M à la mi-février 2019.
L’exposition sera présentée au Musée d’art et d’histoire de Santa Cruz du 12 au 17 mars 2019.
Enfin du 4 octobre au 1er novembre 2019, les oeuvres seront visibles à la galerie Pro Arts d’Oakland.
Juxtaposition de jeunes talents et d’artistes établis, l’exposition met en valeur la vitalité de la scène artistique française engagée tant au niveau scientifique que politique.
A l’affiche, Tania Mouraud, Smith, Kalie Granier, Justine Emard, Fenx, Eric Michel, Delphine Diallo, and Anne-Charlotte Finel.
Les artistes ont tous joué le jeu de l’échange et des rencontres afin de célébrer le dialogue entre la France et la Californie dans cette première édition du festival Pulsions.
Zoom sur le travail photographique de Delphine Diallo
Retrouvez une interview de Delphine Diallo sous forme de podcast. Vous y découvrirez une artiste engagée pour la condition des femmes africaines en particulier. Elle nous parle aussi de sa rencontre avec son mentor, Peter Beard.
Zoom sur l’actualité de Tania Mouraud
Nous avons eu la chance de rencontrer Tania Mouraud en aparté ; son actualité va au delà de l’exposition puisqu’elle sort un livre le 8 mars 2019, clin d’oeil évident à la journée internationale des femmes.
Cette artiste peu banale peint normalement
en grand, en très grand format.
Dans l’exposition Pulsions vous verrez un format de plus de 2 mètres de haut
mais sachez qu’elle peint aussi des façades d’immeubles, des panneaux
d’affichage en 4 x 3 ou des murs de musées quand elle s’expose au centre Pompidou de Metz.
Tania Mouraud nous a donc habitués à un travail d’écriture mais pas sur une feuille de papier.
Elle a partagé avec nous sa toute dernière oeuvre intimiste qui a paru sous la forme d’un livre du nom de FlashS’. C’est une sorte de long poème qui court sur près de 150 pages et l’on a grand plaisir à parcourir bien qu’il parle principalement de douleur. Elle y évoque en effet la mort, la mère, l’enfance, la guerre puis le voyage et toujours et encore, la douleur mais l’écriture est vraiment saisissante et on ne peut s’empêcher de feuilleter. On peut le commander en France à Rue visconti Editions
Du 4 octobre au 1er Novembre 2019: Pro Arts Gallery & COMMONS 150 Frank H. Ogawa Plaza, Oakland